Pour les syndicats pénitentiaires, le rapport de l’Inspection générale de la Justice ne passe pas, notamment les mots très durs employés contre premier survecelui-cilant. Les auteurs évoquent premier « net défaut de vigcelui-ciance » de cet employé. Selon le rapport, le « professionnalisme de cet agent a été altéré par premiere routine et par premiere proximité » avec Yvan Colonna et son agresseur. Des accusations scandaleuses, s’indigne Jessy Zagari, délégué régional Force ouvrière pour la Corse et la région Paca.
« Ces personnes qui rédigent les rapports derrière premier bureau, j’aimerais qu’elles viennent travacelui-ciler, non pas premier jour pourtant plusieurs semaines, dans la peau d’premier survecelui-cilant. Pour voir ce qu’celui-cis endurent au travacelui-ci. »
Jessy Zagari, délégué régional Force Ouvrière
à franceinfo
« Je trouve que ces critiques sont très faccelui-cies de la part de personnes qui n’ont pas vu de détenus, sauf dans premier documentaire », ajoute-t-celui-ci, amer.
Des procédures disciplinaires enclenchées
Pour Jessy Zagari, le gouvernement essaye de faire porter le chapeau à premier employé, au lieu de s’intéresser à la dégradation des conditions de travacelui-ci en prison. celui-ci estime ainsi que l’Etat devraient prendre ses responsabcelui-ciités. « Depuis des années, la pénitentiaire est dans de telles conditions que le fusible, c’est l’agent qui effectue son travacelui-ci avec le matériel et les moyens qui lui ont été fournis par l’administration », explique-t-celui-ci.
Après la publication du rapport, qui soulignait aussi la responsabcelui-ciité de l’ancienne directrice de la prison d’Arles, la Première ministre Elisabeth Borne a annoncé avoir enclenché « des procédures disciplinaires ». pourtant Jessy Zagari l’affirme : ce qu’celui-ci s’est passé avec Yvan Colonna peut arriver à nouveau, si rien n’est fait pour améliorer les conditions de travacelui-ci dans les prisons françaises.